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l’instant du cri

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World Press Photo 2017

[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Tribune du photographe Nicolas Baudouin pour qui, au-delà de toute polémique, le cliché de l’assassin de l’ambassadeur de Russie en Turquie, prise le 19 décembre par Burhan Ozbilici et récompensée par le World Press Photo 2017, fera partie des chefs-d’œuvre de l’histoire de la photographie de reportage. Photo Burhan Ozbilici. AP[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Nous sommes le 19 décembre 2016, à Ankara, en Turquie. Burhan Ozbilici, photographe à l’Associated Press, rentre tranquillement du travail quand il décide de s’arrêter un moment dans une galerie d’art. Soudain, l’horreur absolue : Andreï Karlov, l’ambassadeur de Russie en Turquie, qui devait inaugurer l’exposition, est abattu par Mevlüt Mert Altintas, un policier qui n’était pas en service au moment des faits.

Au mépris du danger, Burhan Ozbilici appuie sur le déclencheur : le cliché de cet incident lui vaudra de remporter le prix de la photo de l’année 2017 décerné par la World Press Photo Foundation. Il revient aujourd’hui sur ce moment aussi exceptionnel que terrifiant.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]

Burhan Özbilici

Fils d’un intellectuel et héros de la guerre d’indépendance turque, Burhan Özbilici étudie le français dans un institut à Ankara, puis, en France, la littérature française et le journalisme spécialisé dans les nouveaux médias. Il rejoint l’agence Associated Press (AP) en tant que photographe en 1989, et intègre le « staff » en 1996. Il a notamment couvert la guerre du Golfe, la guerre civile syrienne et la tentative de coup d’État de 2016 en Turquie1.

Le 13 février 2017, Burhan Özbilici reçoit le prix World Press Photo of the Year à Amsterdam pour son cliché intitulé « Un assassinat en Turquie » et qui illustre l’assassinat d’Andreï Karlov, l’ambassadeur russe en Turquie tué le 19 décembre 2016 par le policier Mevlüt Mert Altıntaş2. Le jury a salué le courage du photographe en montrant ainsi la « haine de notre époque ».[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

COMPASS

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Marque : Compass

Modèle : Compass Format 24 x 36 sur plaque en verre ou sur film 38 mm non perforé

Caractéristiques : Alors là, c’est du lourd.

Il fut étudié par Noël Pemberton-Billing, un anglais touche à tout. Tour à tour aventurier, boxeur, policier et marchand de bateaux à vapeur, il crée en 1913 la Pimberton-Billing Ltd pour fabriquer des avions.

Cette société donnera naissance plus tard à Supermarine qui fabriquera les hydravions anglais de la coupe Schneider puis le Spitfire. En 1915, il vend son usine et se fait élire au parlement.

C’est en 1930 qu’il commence l’étude du Compass qui sera finalement présenté en 1937. (à priori, il vaut mieux ne pas trop gratter le palmarès politique de Pemberton-Billing mais je vous laisse faire la recherche).

Il remit ça après guerre avec un autre appareil miniature : Le Phantom dont il n’existe qu’un prototype vendu aux enchère en 2001 pour 122 000 livres.

Vu la taille de l’objet (55 mm x 70 mm x 30 mm plié) et le raffinement de la construction, il s’est astucieusement adressé à des horlogers, en l’occurrence, la Maison Lecoultre et Cie, devenue depuis Jaeger Lecoultre, au Sentier (dans la vallée de Joux, canton de Vaud en Suisse).

Quand on voit l’appareil et qu’on connaît un peu l’horlogerie, la patte de Lecoultre est évidente dans la réalisation et les qualités de finitions. Les horlogers auxquels je l’ai montré sont tous tombés sous le charme.

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