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Walker Evans en 15 questions

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[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2381,2404,2403,2402,2401,2400,2399,2398,2397,2396,2395,2394,2393,2390,2389,2388,2387,2386,2385,2384,2383,2382″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Autodidacte, Gordon Parks est photographe, auteur, compositeur et réalisateur. Considéré comme le premier photographe afro-américain à travailler pour Vogue et Life, il est surtout connu pour son photojournalisme documentaire des années 1940 jusqu’aux années 1970. Il capte dans les centres-villes des images du mouvement des droits civiques. Né le 30 novembre 1912 à Fort Scott dans le Kansas dans une famille de fermiers, il grandit à travers la ségrégation et la violence raciste. Il achète son premier appareil photo à l’âge de 25 ans chez un prêteur sur gages de Seattle et, en 1940, s’installe à Chicago et développe une affaire où il fait des portraits.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]En 1948, son essai photographique sur un leader de gang à Harlem lui permet de travailler comme photographe pour Life et ce, jusqu’en 1972. Parks est également un réalisateur célèbre, son film Shaft est l’un des grands succès de 1971. Il reçoit le prix de photographe de l’année par l’American Society of Magazine Photographers en 1960, le Congress of Racial Equality Lifetime Achievement Award en 2000 ainsi que plus de 20 doctorats honorifiques. La bibliothèque du Congrès de Washington, D.C. acquiert ses archives en 1995. Il meurt le 7 mars 2006 à New York.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
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[vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »default » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][image_with_animation image_url= »6495″ alignment= »center » animation= »Fade In » hover_animation= »none » border_radius= »none » box_shadow= »none » image_loading= »default » max_width= »100% » max_width_mobile= »default »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][image_with_animation image_url= »6498″ alignment= »center » animation= »Fade In » hover_animation= »none » border_radius= »none » box_shadow= »none » image_loading= »default » max_width= »100% » max_width_mobile= »default »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][image_with_animation image_url= »6499″ alignment= »center » animation= »Fade In » hover_animation= »none » border_radius= »none » box_shadow= »none » image_loading= »default » max_width= »100% » max_width_mobile= »default »][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »default » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Jonathan Thevenet a été formé à la photographie argentique et aux techniques de tirage photos Noir et Blanc, au sein de l’atelier Magenta à Villeurbanne, dirigé par Dominique Sudre.
Il s’est ensuite consacré pleinement à la photographie culinaire qui permet d’assouvir deux passions : la belle cuisine et la photographie artistique.
Les voyages en Asie influencent ses goûts, à travers des découvertes culinaires marquantes comme à Hong Kong, Taipei ou Tokyo.
En parallèle, ses recherches photographiques aboutissent à des créations personnelles, dont la série Lyonnaiseries qui a fait l’objet d’un reportage dans l’émission Échappées Belles – Lyon, la gourmandise en héritage.
En 2021 il reçoit, en collaboration avec François Vermeere-Merlen, une double distinction : le Grand Prix des Ambassadeurs du Produit & le Grand Prix du Festival International de la Photographie Culinaire, avec la série « Anatomie d’un sentiment ».
Son travail récent est à (re)découvrir dans ce reportage réalisé par France3.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »default » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][image_with_animation image_url= »6485″ alignment= » » animation= »Fade In » hover_animation= »none » border_radius= »none » box_shadow= »none » image_loading= »default » max_width= »100% » max_width_mobile= »default »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »2/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
2021 Photo Contest, World Press Photo of the Year
[/vc_column_text][vc_column_text]Rosa Luzia Lunardi (85) is embraced by nurse Adriana Silva da Costa Souza, at Viva Bem care home, São Paulo, Brazil.
This was the first hug Rosa had received in five months. In March, care homes across the country had closed their doors to all visitors as a result of the COVID-19 pandemic, preventing millions of Brazilians from visiting their elderly relatives. Carers were ordered to keep physical contact with the vulnerable to an absolute minimum. At Viva Bem, a simple invention, ‘The Hug Curtain’, allowed people to hug each other once again. The new coronavirus had first appeared in Wuhan, China, at the end of 2019, and by January 2020 had begun to spread around the world. On 11 March, the World Health Organisation declared the COVID-19 outbreak a pandemic. The disease—transmitted mainly via close contact, respiratory droplets, and aerosols—could be fatal, and people over the age of 70 were one of the groups considered most vulnerable to the disease. Brazilian president, Jair Bolsonaro, dismissed claims about the severity of the pandemic and the danger posed by the virus, undermined quarantine measures adopted at state level, and encouraged Brazilians to continue working to keep the economy afloat. Brazil ended 2020 with one of the worst records globally in dealing with the virus, with some 7.7 million reported cases and 195,000 deaths.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
9 novembre 1989, jour où, par hasard ou pas, tout a basculé. Qu’est-ce qui fait que ce caméléon tour à tour artiste, acteur, Black Panther, …
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2604,2603,2602,2601″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Le photographe de l’AFP Shah Marai est mort ce lundi dans un attentat à Kaboul, après avoir été tant de fois témoin des atrocités commises par talibans et djihadistes de Daesh dans son pays.
Shah Marai disait avoir vu tant de cadavres depuis qu’il travaillait pour l’AFP qu’il n’en dormait plus la nuit. Le chef photographe de l’agence en Afghanistan a été tué le lundi 30 juillet 2018 dans un double attentat suicide à Kaboul.
Sa vie et son épilogue illustrent tristement les tourments de son pays.
Agé de 48 ans, Shah Marai avait démarré sa carrière à l’agence en 1996 en tant que chauffeur. Après avoir commencé à prendre quelques clichés pour l’AFP à partir de 1998, il était devenu photographe à plein temps en 2002, à un moment où la paix était momentanément revenue en Afghanistan après l’intervention américaine.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Shah Marai commence à travailler pour l’agence France-Presse (AFP) en 1996, comme chauffeur et interprète. À partir de 1998, il appréhende peu à peu la photographie, toujours pour le compte de l’agence. Il exerce essentiellement dans la clandestinité, car les photographies d’êtres vivants sont proscrites par le régime taliban, ce qui l’oblige à dissimuler son appareil reflex et à ne pas signer ses clichés — ainsi qu’il l’explique dans un billet de blog publié en 20164. Parfois menacé, il souffre également du dos après avoir été frappé par des talibans et est opéré en 2013 pour ce motif.
Alors que les journalistes occidentaux sont chassés du pays en 2000, il y demeure et poursuit tant bien que mal son travail. Il assiste en 2001 à l’invasion de l’Afghanistan par la coalition menée par les États-Unis et au recul des Talibans qui s’ensuit, synonymes d’espoir — que le photographe illustre au travers de ses clichés.
Les combats perdurent, les attentats se succèdent jusque dans les années 2010 et Shah Marai, devenu chef du service photo, dit perdre espoir de voir son pays sortir de la violence ; l’un de ses collègues photographe de l’AFP, Sardar Ahmad, est assassiné en 2014 avec sa femme et deux de ses enfants. Shah Marai continue néanmoins d’exercer et de témoigner à la fois des drames humains et de la vie quotidienne des Afghans. Il est par ailleurs marié et père de six enfants, dont deux sont aveugles.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2624″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Diplômé en journalisme, elle se tourne vers la photographie documentaire en 2007 et fonde, avec Colin Delfosse notamment, et parce que les grands esprits se rencontrent, le collectif Out of Focus.
L’humain, ce qu’il vit, ce qu’il ressent, comment il se défend, est au centre de son travail. Engagée, très entière, elle fait partie de ces photographes qui s’accordent le temps de s’impregner de leur sujet. Pauline aime les gens et ça se sent dans ses images.
En 2011, elle reçoit une bourse du Fonds pour le journalisme belge pour travailler sur la jeunesse égyptienne et part vivre au Caire pendant 5 ans. Elle y assiste au réveil de la population dans les manifestations de la place Tahrir et suivra de près la jeunesse, à l’avant-garde de ces mouvements populaires.
En 2012, elle co-réalise le webdocumentaire Sout al Shabab (La voix des jeunes), en partenariat avec France Culture qui reçoit le prix du journalisme méditerranéen de la Fondation Anna Lindh et le PriMed 2014. Le Nikon Press Photo Award lui est attribué en 2013 pour son travail Battir, The Green Intifada .
En 2016 elle co-signe l’ouvrage Génération Tahrir avec le dessinateur Ammar Abo Bakr, édité aux éditions Bec en l’air. Son premier film documentaire est en cours de finalisation et son exposition Génération Tahrir est visible au Musée de la Photographie de Charleroi jusqu’au 22 mai 2016. Elle collabore avec Le Monde, Libération, Télérama, L’Express, Elle Belgique, De Morgen, The New York Times, Colors…
Malgré cette actualité débordante, Pauline trouve le temps de venir boire des mauvais cafés à l’atelier.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]paulinebeugnies.com[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » …
Cet ouvrage est le premier à se pencher de manière systématique sur les motivations et sources d’inspiration des photographes contemporains. Il révèle la façon dont travaillent quelques-uns des plus célèbres photographes d’aujourd’hui dans les domaines de l’art, du reportage, de la mode, de la publicité et du portrait, et analyse ce qui détermine les chefs de service photo, conservateurs, galeristes, directeurs d’agence et éditeurs dans leur choix de telle ou telle photographie.
« C’est une chose importante pour moi – en fait, un élément essentiel de mon travail – que de faire en sorte de respecter l’individualité des personnes que je photographie, dont l’existence est toujours liée à un moment et à un lieu très précis. » Susan Meiselas
L’exposition consacrée à la photographe américaine Susan Meiselas (1948, Baltimore) réunit une sélection d’œuvres des années 1970 à nos jours. Membre de Magnum Photos depuis 1976, Susan Meiselas questionne la pratique documentaire. Elle s’est fait connaître par ses images sur les zones de conflit en Amérique centrale dans les années 1970 et 1980, notamment grâce à la force de ses photographies couleur.
Couvrant de nombreux sujets et pays, de la guerre aux questions des droits de l’homme, de l’identité culturelle à l’industrie du sexe, elle utilise la photographie, le film, la vidéo et parfois des matériaux d’archives dans une volonté constante de construire des récits auxquels elle associe ses sujets en tant qu’acteurs.
L’exposition, la plus complète qui lui ait jamais été consacrée en France, met en évidence cette démarche unique de Susan Meiselas qui traverse les conflits dans le temps avec une approche personnelle autant que géopolitique et questionne le statut des images par rapport au contexte dans lequel elles sont perçues.
Pour le Jeu de Paume, elle a créé une nouvelle œuvre, commencée en 2015 et inspirée par son engagement auprès de Multistory, association basée au Royaume-Uni. Cette dernière série réalisée dans un foyer pour femmes, A Room of Their Own, porte à nouveau sur le thème de la violence domestique, cette fois en Angleterre. L’installation comprend cinq récits en vidéo qui présentent les photographies de l’artiste, des témoignages de première main, des collages et des dessins.
Susan Meiselas, née le 21 juin 1948 à Baltimore dans le Maryland, est une photographe américaine. Elle fait ses études secondaires à Woodmere, New York, puis obtient un Master of Arts à l’université Harvard. Son premier travail photographique est un reportage sur les strip-teaseuses dans les foires de la Nouvelle Angleterre, alors qu’elle enseignait la photographie dans des écoles publiques de New York. Le livre, Carnival Strippers, est publié en 1976, année où elle rejoint l’agence Magnum Photos pour se consacrer entièrement à la pratique photographique.
Susan Meiselas, est particulièrement connue pour ses reportages sur la révolution au Nicaragua et sur les questions relatives aux droits de l’Homme en Amérique Latine.
En 1997, elle termine un travail de reconstitution par l’image de l’histoire et de l’identité du peuple Kurde en associant ses propres photos à des photos anciennes trouvées au cours de ses voyages dans la région.
1979 : Prix Robert Capa Gold Medal, USA
1982 : Leica Award for Excellence, USA
1982 : Photojournalist of the Year Award from the American Society of Media Photographers
1984 : Fellowship from the National Endowment of the Arts, USA
1985 : Engelhard Award, Institute of Contemporary Art, USA
1987 : Lyndhurst Foundation, USA
1992 : MacArthur Fellowship, USA
1994 : Maria Moors Cabot Prize, Columbia Journalism School, USA
1994 : Prix international de la Fondation Hasselblad, Suède
1995 : Rockefeller Foundation, Multi-Media Fellowship, USA
2005 : Prix Cornell Capa, ICP, USA
2006 : Médaille du centenaire de la Royal Photographic Society1
2008 : Lucie Award du photojournalisme
2009 : Prix du Livre historique, Rencontres d’Arles
2018 Susan Meiselas, Médiations, Jeu de Paume (France)
2006 Les Rencontres d’Arles (France)
2006 Open Eye, Liverpool (Royaume-Uni)
2004 Scout Gallery, Londres (Royaume-Uni)
2004 Stephen Daiter Gallery, Chicago (USA)
2004 Rose Gallery, Los Angeles (USA)
2003 FOAM, Amsterdam (Pays-Bas)
2002 Canal de Isabel II, Madrid (Espagne)
2000 Whitney Museum of American Art, New York (USA)
1998 Leica Gallery, New York (USA)
1994 Hasselblad Center, Göteborg (Suède)
1990 Art Institute of Chicago, Chicago (USA)
1984 Museum Folkwang, Essen (Allemagne)
1982 Camerawork, Londres (Royaume-Uni)
1982 Side Gallery, Newcastle-on-Tyne (Royaume-Uni)
1981 Galerie FNAC (France)
1977 AM Sachs Gallery, New York, New York (USA)
Whitney Museum of American Art, USA
Library of Congress, Washington, USA
Hasselblad Center, Suède
Museum Folkwang, Allemagne
Birmingham Museum of Art, USA
Museum of Fine Arts, Houston, USA
San Francisco Museum of Modern Art, USA
Institut d’art de Chicago, USA
St. Louis Museum of Art, USA
Museum of Photographic Arts, USA
George Eastman House, Rochester, USA
Fogg Museum, Harvard University, USA
University of California, Riverside, USA
Baltimore Museum of Art, USA
Haverford College, Pennsylvania, USA
International Center of Photography, USA
2003 Encounters with the Dani (ICP/Steidl Verlag, USA/Germany)
2001 Pandora’s Box (Magnum Editions/Trebruk, Danemark)
1997 Kurdistan: In the Shadow of History (Random House, USA) (ISBN 0679423893)
1990 Chile From Within (W.W. Norton, USA)
1983 El Salvador: The Work of 30 Photographers (Pantheon, USA)
1981 Nicaragua, June 1978 – July 1979 (Pantheon, USA)
1976 Carnival Strippers (Farrar, Strauss & Giroux, USA)
Strip-tease forain, Éditions du Chêne, 1976
1975 Learn to See (Polaroid Foundation, USA)
J
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »6131″ layout= »fullwidth » masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Gamma est une agence photographique de presse française fondée le par Raymond Depardon, Hubert Henrotte, Léonard de Raemy et Hugues Vassal et Gilles Caron.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]L’agence de presse Gamma, est née de débats entre photo-reporters membres ou sympathisant de l’Association nationale des Journalistes Reporters Photographes (ANJRP) fondée à Grenoble au début des années 60 et qui s’est battu pour améliorer les conditions de travail des photo-reporters. Le nom de Jean Lattès, photojournaliste est souvent cité, mais il refusa d’être associé à la Sarl constituée par Hubert Henrotte qui devint le gérant. Jean Lattès souhaitait que Gamma fut une coopérative (Scoop).
Gamma Presse Images, a diffusé le travail d’environ 6 000 photographes depuis sa création. Parmi eux, on peut retenir Gilles Caron, Raymond Depardon, Abbas, Jean-Claude Francolon, Françoise Demulder, Marie-Laure de Decker, Catherine Leroy, William Karel, André Perlstein, James Andanson de 1972 à 1976, Georges Mérillon, Alexis Duclos, Emanuele Scorcelletti, Michel Laurent, Hans Bollinger, Thierry Secretan, Michel Folco, Daniel Simon, Gilbert Uzan, Patrick Aventurier, Jean Michel Turpin, François Lochon, Ulf Andersen, Patrick Denaud, Raphaël Gaillarde, Éric Bouvet, William Stevens, Pierre Hounsfield, Frédéric Souloy, Rafael Wollman, Arnaud de Wildenberg, Francis Apesteguy, Robert Deyrail, Rémi Bénali, Alain Buu, Patrick Chapuis, Zeng Niang, Noël Quidu, Marc Deville, Francis Demange, Erwin Schuh, Francis Bailly1.
De plus, beaucoup de photojournalistes ont contribué au prestige de l’agence Gamma qui fut la pépinière de grands noms de la photo comme Abbas, Jean Gaumy, Sebastião Salgado, David Burnett ou encore Gianni Giansanti.
Six hommes en particulier ont marqué l’agence et furent présents dès sa création :
Hubert Henrotte : il dirigea l’agence de 1966 à 1973, avant de créer sa propre entreprise, Sygma, laquelle fut longtemps concurrente de Gamma.
Raymond Depardon : cinéaste et photographe.
Gilles Caron : il disparut au Cambodge en 1970.
Hugues Vassal : photographe d’Édith Piaf et de la royauté d’Iran.
Jean Monteux : commercial, puis PDG de 1977 à 1993.
Leonard de Raemy : photographe.
Floris de Bonneville dirigea de 1968 à 1996, la rédaction2 et organisa le réseau de diffusion à l’étranger, réseau qui longtemps allait être le meilleur de toutes les agences du marché
En 1973, le formidable développement de l’agence attira nombre de photographes. Il s’en suivi des conflits entre photographes associés et photographes diffusés lesquels débouchèrent sur une grève du personnel, suivi d’une discorde des associés. En mai 1973, la quasi-totalité du personnel suivit Hubert Henrotte qui fonda l’agence de presse Sygma en rachetant l’agence APIS.
Raymond Depardon devint le directeur-gérant avant de rejoindre l’agence Magnum, puis Hugues Vassal et enfin Jean Monteux.
Dans son film Reporters, Raymond Depardon suit plusieurs photographes de Gamma dans leur activité, pendant le mois d’octobre 1980. Le film montre que les photographes traitent de l’actualité sérieuse, voire tragique (attentat antisémite contre la synagogue de la rue Copernic, qui tue quatre personnes) ainsi que de l’activité de paparazzi tel Francis Apesteguy photographiant des célébrités (Richard Gere notamment), ou encore Jacques Chirac, alors maire de Paris, que l’on retrouve à plusieurs reprises dans le film.
À la fin des années 1990, à la suite de conflits sociaux sans fin, de blocages internes refusant les nouvelles technologies numériques, l’agence Gamma est rachetée par le groupe Hachette Filipacchi Médias, dont le pôle « Image » est dirigé, depuis décembre 2005, par Bertrand Eveno, énarque, ancien président-directeur général de l’Agence France-Presse. Elle est ensuite cédée à Green Recovery. Le dernier repreneur continue de diffuser les images de Gamma par l’intermédiaire de la société Eyedea Presse, filiale du groupe Eyedea.
Le 23 juillet 2009, Stéphane Ledoux, pdg du groupe Eyedea déclare l’agence en cessation de paiement3,4.
Le groupe Eyedea a déposé le bilan de sa filiale Eyedea Presse (et donc Gamma) au tribunal de commerce le 28 juillet 20095. Ainsi, le groupe Eyedea est en redressement judiciaire devant ce même tribunal de commerce de Paris.
François Lochon, photographe et ancien actionnaire de l’agence Gamma se voit attribuer par le Tribunal de commerce de Paris la reprise du Groupe Eyedea.
L’agence Rapho, une légende du monde de l’image, figure dans le panier des agences du groupe. Édouard Boubat, Robert Doisneau, Willy Ronis, Jean-Louis Swiners, Sabine Weiss sont diffusés par la nouvelle entité, qui prend le nom de « Gamma-Rapho », ainsi que les archives des agences Keystone, Explorer, Hoa Qui et Stills également incluses dans ce fonds d’archives.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Dans les Landes, le plus vieux camp de gitans de France doit être démantelé pour laisser place à une base militaire. À faire disparaître cet …
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »6190,6189,6188,6187,6186,6185,6184,6183,6182,6181,6180,6179,6178,6177,6176,6175,6174,6173,6172,6171,6170,6169,6168,6167,6166″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
La Photo League, groupement de photographes amateurs et professionnels réuni à New York autour d’objectifs communs de nature sociale et créative. Fondée en 1936 par Paul Strand, Ralph Steiner et Berenice Abbott.
Les origines de la Photo League remontent au projet « Workers International Relief » (WIR), une association communiste basée à Berlin. En 1930, le WIR établit à New York la « Worker’s Camera League », connue ensuite sous l’appellation de « Film and Photo League ». Les objectifs de propagande de cette association sont de combattre et dénoncer les films réactionnaires, produire des films reflétant la vie et les luttes des travailleurs américains, diffuser et populariser les grandes productions artistiques et révolutionnaires soviétiques.
En 1934, les photographes ainsi que les cinéastes de la League commencent à avoir des divergences d’opinion, en 1936, ils constituent des groupes séparés. Paul Strand, Ralph Steiner fondent « Frontier Films » pour continuer à promouvoir les objectifs initiaux, et simultanément, Strand et Berenice Abbott rebaptisent le groupe d’origine « The Photo League ».
Les deux groupes conservent des liens amicaux, certains membres participent aux activités des deux. Les objectifs de la « Photo League » sont de placer l’appareil aux photographes honnêtes qui l’utilisent réellement pour photographier l’Amérique. La photographie n’étant pas enseigner dans les écoles universaitaires, le groupe propose des cours aux photographes débutants. Un bulletin intitulé « Photo Notes » est publié à intervalles irréguliers, en fonction des membres disponibles pour s’en occuper et des fonds pouvant financer son impression. La Photo League est surtout un point de rencontre pour les photographes souhaitant partager et mettre en application des intérêts communs d’ordre social et artistique.
On trouve parmi ses membres les cofondateurs, Sol Libsohn, Sid Grossman le directeur de la « Photo league School », Walter Rosenblum, le rédacteur des « Photo Notes », Eliot Elisofon, photographe du magazine Life, Morris Engel, Jerome Liebling, Aaron Siskind, Jack Manning membre du Harlem Document Group et photographe au New York Times, Dan Weiner, Bill Witt, Lou Bernstein, Arthur Leipzig, Sy Kattelson, Lester Talkington et Ruth Orkin.
Dès ses débuts d’autres photographes vont incorporer la Photo League, Arnold S. Eagle, George Gilbert, Morris Haberland, Sidney Kerner, Richard A. Lyon, Edward Schwarz, Lou Stoumen, Sandra Weiner. À son apogée, dans les années 1940, la liste de photographes connus actifs au sein de la Photo League ou la soutenant, compte Margaret Bourke White, W.Eugene Smith, Helen Levitt, Arthur Rothstein, Beaumont Newhall, Nancy Newhall, Richard Avedon Weegee, Robert Frank, Harold Feinstein,Ansel Adams, Edward Weston et Minor White. La Photo League gére la « Lewis Hine Memorial Collection », mission qui lui a été confiée par le fils de Lewis Hine en reconnaissance de son engagement social tel que son père le pratiquait avec la photographie.
La plupart des membres ayant rejoint la Photo League avant la fin de la Seconde guerre mondiale sont des Américains de première génération avec des convictions fortes sur les causes sociales et politiques. Peu d’entre eux sont conscients des origines politiques du mouvement communiste « Arbeiterfotografen » de Berlin. La Photo League est alors accusée par le FBI d’être une organisation communiste , subversive et anti-américaine. En 1947, elle est placée par le procureur général Tom C. Clark sur la liste noire de « l’U.S. Department of Justice ».
La Photo League dans un premier temps résiste en organisant de 1948 à 1949 une exposition rétrospective « This Is the Photo League » qui comprend au total 96 photographes. Mais à la suite d’un témoignage d’Angela Calomiris en mai 1949, qui denonce la Photo League comme une association de pointe du Parti Communiste, elle n’a plus d’avenir, les adhésions s’effondrent et les membres les plus anciens la quittent, comme ses anciens présidents, Paul Strand et Louis Stettner. Elle est contrainte de se dissoudre en 1951.
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Furtive petite visite sur le site de Sylvain Aubert, artiste pluriel issu de la culture skate pure et dure de Eightie’s. Or ainsi qu’il l’avoue, …
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » …
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Le groupe des XV est en partie constitué des membres issus de l’association « le Rectangle » actif entre 1936 et 1945.
Fondé à Paris en 1946 par 15 photographes, d’où son nom, le Groupe des XV a pour principaux objectifs de faire reconnaître la photographie comme moyen d’expression artistique à part entière ainsi que la sauvegarde du patrimoine photographique français.
Pour acquérir cette reconnaissance André Garban organise, chaque année, une exposition collective, souvent dans une galerie parisienne, à la « Galerie Pascaud », boulevard Haussmann, au « Cercle de la librairie », boulevard Saint-Germain ou la « Galerie Mirador », place Vendôme. C’est également dans son studio de portraits, rue Bourdaloue que se tiennent les réunions.
Au début les 15 membres principaux sont les associés cofondateurs, Marcel Amson, Jean-Marie Auradon, Marcel Bovis, André Garban, René-Jacques, Henri Lacheroy, Laval, Lucien Lorelle, Daniel Masclet, Jean Michaud, Philippe Pottier, Albert Séeberger, Jean Séeberger, Louis-Victor Emmanuel Sougez, François Tuefferd.
André Garban organise également à partir de 1946 le « Salon national de la photographie », dans la « Galerie Mansart » de la Bibliothèque nationale.
Le photographe Emmanuel Sougez fondateur en 1937 du groupe « le Rectangle » reste dans l’ombre et ne participe pas à l’administration de la nouvelle association, mais continue à s’impliquer dans ses activités, aidant son ami Garban à l’organisation.
A partir de 1948, un grand nombre de photographes adhèrent au groupe, Ina Bandy, Jean-Philippe Charbonnier, Yvonne Chevallier, Jean Dieuzaide, Robert Doisneau, Edith Gérin, Léon Herschtritt, Pierre Jahan, Jean Marquis, Janine Niépce, André Papillon, Willy Ronis, Éric Schwab, René Servant, Jean-Louis Swiners et Sabine Weiss.
Tous ensemble, ils défendent les qualités formelles, la maîtrise technique et les valeurs du métier, rejetant le pictorialisme et la photographie subjective sans pour autant rejeter les idées neuves, l’originalité, les angles nouveaux. Ils ne dédaignent ni le surréalisme, cher à Pierre Jahan, ni les apports de la nouvelle objectivité. Ces photographes, tous professionnels, tirent leurs revenus de commandes publiques et privées et collaborent avec les milieux de l’édition, ainsi que la presse comme « Plaisir de France » ou encore « Réalité ».
Le groupe est dissous en 1957. Les photographies faites par les membres du groupe ont en commun la représentation de scènes de rue témoignant de la vie quotidienne et traditionnelle des Français, rapprochant le Groupe des XV à la photographie humaniste.
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[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2294,2295,2292,2291,2290,2289,2288,2287,2286,2285,2284,2283,2282,2281,2280,2279,2278,2277,2276,2293″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]Mark Nixon photographie des vieux nounours et des doudou qui ont souffert et qui portent les trace d’une vie passée à être aimés et promenés partout par des enfants.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Le photographe portraitiste primé basé à Dublin, Mark Nixon, a créé une collection merveilleuse, fantaisiste et nostalgique d’images d’animaux en peluche individuels qui ont été amoureusement maltraités après des années de jeu. « Les jouets bien usés montrent des cicatrices de bataille d’être les biens précieux des enfants et des compagnons chéris qui ont vu de nombreuses réparations alors que différentes pièces commencent à s’user », explique Nixon. Une exposition dans le studio professionnel du photographe a fait sensation sur Internet lorsque quelques-unes des images ont circulé officieusement sur des dizaines de blogs et sur de nombreux sites d’information légitimes. Les téléspectateurs ont été intrigués par ces images drôles et douces-amères et leur juxtaposition ironique de l’innocence de l’enfance et de l’usure et de l’usure vieillies et affectueuses. Quand vous voyez ces ours en peluche et ces lapins avec le nez manquant et le rembourrage non fait, vous ne pouvez pas vous empêcher de penser à l’enfance et à ses premiers compagnons qui n’ont rien demandé et ont beaucoup donné. MuchLoved comprend soixante portraits en 4 couleurs ainsi qu’une histoire d’accompagnement pour chaque animal.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Éditeur : Abrams Image
Date : 29 octobre 2013, 1ére édition
Langue : Anglais
Relié : 128 pages
ISBN : 9781419710124[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2129,2130″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Tribune du photographe Nicolas Baudouin pour qui, au-delà de toute polémique, le cliché de l’assassin de l’ambassadeur de Russie en Turquie, prise le 19 décembre par Burhan Ozbilici et récompensée par le World Press Photo 2017, fera partie des chefs-d’œuvre de l’histoire de la photographie de reportage. Photo Burhan Ozbilici. AP[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Nous sommes le 19 décembre 2016, à Ankara, en Turquie. Burhan Ozbilici, photographe à l’Associated Press, rentre tranquillement du travail quand il décide de s’arrêter un moment dans une galerie d’art. Soudain, l’horreur absolue : Andreï Karlov, l’ambassadeur de Russie en Turquie, qui devait inaugurer l’exposition, est abattu par Mevlüt Mert Altintas, un policier qui n’était pas en service au moment des faits.
Au mépris du danger, Burhan Ozbilici appuie sur le déclencheur : le cliché de cet incident lui vaudra de remporter le prix de la photo de l’année 2017 décerné par la World Press Photo Foundation. Il revient aujourd’hui sur ce moment aussi exceptionnel que terrifiant.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]
Fils d’un intellectuel et héros de la guerre d’indépendance turque, Burhan Özbilici étudie le français dans un institut à Ankara, puis, en France, la littérature française et le journalisme spécialisé dans les nouveaux médias. Il rejoint l’agence Associated Press (AP) en tant que photographe en 1989, et intègre le « staff » en 1996. Il a notamment couvert la guerre du Golfe, la guerre civile syrienne et la tentative de coup d’État de 2016 en Turquie1.
Le 13 février 2017, Burhan Özbilici reçoit le prix World Press Photo of the Year à Amsterdam pour son cliché intitulé « Un assassinat en Turquie » et qui illustre l’assassinat d’Andreï Karlov, l’ambassadeur russe en Turquie tué le 19 décembre 2016 par le policier Mevlüt Mert Altıntaş2. Le jury a salué le courage du photographe en montrant ainsi la « haine de notre époque ».[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][image_with_animation image_url= »2030″ alignment= » » animation= »Fade In » hover_animation= »none » border_radius= »none » box_shadow= »none » image_loading= »default » max_width= »100% » max_width_mobile= »default »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »2/3″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
Marque : Compass
Modèle : Compass Format 24 x 36 sur plaque en verre ou sur film 38 mm non perforé
Caractéristiques : Alors là, c’est du lourd.
Il fut étudié par Noël Pemberton-Billing, un anglais touche à tout. Tour à tour aventurier, boxeur, policier et marchand de bateaux à vapeur, il crée en 1913 la Pimberton-Billing Ltd pour fabriquer des avions.
Cette société donnera naissance plus tard à Supermarine qui fabriquera les hydravions anglais de la coupe Schneider puis le Spitfire. En 1915, il vend son usine et se fait élire au parlement.
C’est en 1930 qu’il commence l’étude du Compass qui sera finalement présenté en 1937. (à priori, il vaut mieux ne pas trop gratter le palmarès politique de Pemberton-Billing mais je vous laisse faire la recherche).
Il remit ça après guerre avec un autre appareil miniature : Le Phantom dont il n’existe qu’un prototype vendu aux enchère en 2001 pour 122 000 livres.
Vu la taille de l’objet (55 mm x 70 mm x 30 mm plié) et le raffinement de la construction, il s’est astucieusement adressé à des horlogers, en l’occurrence, la Maison Lecoultre et Cie, devenue depuis Jaeger Lecoultre, au Sentier (dans la vallée de Joux, canton de Vaud en Suisse).
Quand on voit l’appareil et qu’on connaît un peu l’horlogerie, la patte de Lecoultre est évidente dans la réalisation et les qualités de finitions. Les horlogers auxquels je l’ai montré sont tous tombés sous le charme.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »30px » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » top_padding= »10″ overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »2031,2030,2029,2028,2027,2026,2025″ layout= »4″ item_spacing= »default » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type= »full_width_content » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »20px » scene_position= »center » text_color= »light » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none » shape_type= » »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_gallery type= »image_grid » images= »1767,1775,1783,1782,1781,1780,1779,1778,1777,1776,1784,1785,1850″ layout= »2″ masonry_style= »true » bypass_image_cropping= »true » item_spacing= »3px » gallery_style= »7″ load_in_animation= »none »][/vc_column][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »none » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » overlay_strength= »0.3″ column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]« Je veux que mes photographies parlent des émotions et sentiments basiques que nous expérimentons tous. »[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Photojournaliste américaine, née le 20 mars 1940 à Philadelphie, en Pennsylvanie.
Mary Ellen Mark obtient une licence de peinture et histoire de l’art en 1962 et, deux années plus tard, une maîtrise de photojournalisme à l’université de Pennsylvanie à Philadelphie. En 1974, elle publie son premier ouvrage, Passport, une sélection de photographies prises de 1963 à 1973.
Célèbre pour ses photographies et ses documentaires bouleversants sur la marginalité, Mary Ellen Mark réalise, en 1976, l’un de ces premiers reportages. Pendant deux mois, elle vit dans le quartier sécurisé d’un hôpital psychiatrique, l’Oregon State Mental Institution. Elle fixe sur la pellicule les expressions des visages et les manifestations d’angoisse des femmes recluses. Ces images en noir et blanc, publiées dans Ward 81 (1979, « Quartier numéro 81 »), illustre les intentions de l’artiste : montrer la condition humaine avec compassion et objectivité.
Mary Ellen Mark voyage plusieurs fois en Inde, en 1968, 1980 et 1981, où elle photographie les prostituées de Bombay ainsi que le travail de mère Teresa et de ses auxiliaires. Il en naîtra deux livres, Falkland Road : Prostitutes of Bombay (1981) et Photographs of Mother Teresa’s Missions of Charity in Calcutta, India (1985). En 1982, elle effectue un reportage pour le magazine Life sur la vie des enfants fugueurs dans les rues de Seattle, aux États-Unis. Il remportera un prix. Deux ans plus tard, elle repart dans cette ville pour travailler sur Streetwise (1984), un poignant documentaire social toujours sur les enfants des rues. Dans son ouvrage A Cry for Help : Stories of Homelessness and Hope (1996), elle présente des portraits de sans-abri survivant dans les rues de New York. Ses photographies sont publiées dans des magazines tels que Time, Ms., Paris-Match et Der Stern. L’ouvrage Exposure : Mary Ellen Mark, the Iconic Photographs (2005) propose une sélection de photographies et une interview de l’artiste. De 2006 à 2009, Mary Ellen Mark réalise des portraits en noir et blanc de jeunes Américains le jour du « bal de promo » (Prom, 2012), considéré comme un véritable rituel de passage.
Mary Ellen Mark meurt à New York le 25 mai 2015.[/vc_column_text][divider line_type= »No Line »][vc_column_text]Éditeur : Lustrum Press
Directeur de l’ouvrage : Mary Ellen Mark
Langue : anglais
Parution : 1974
Pagination : 95 pages.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
« Une photographie est un secret sur un secret. Plus elle vous en dit, moins vous en savez. » « Je veux photographier les cérémonies formidables …
Le film raconte l’histoire de la Cité de Dieu, un quartier violent de Rio de Janeiro, sur une période allant de la fin des années 1960 au milieu des années 1970. Le personnage principal (et narrateur) est issu de ce quartier et veut devenir photographe. À la fois acteur et spectateur des événements, il témoigne ainsi de l’évolution de ce quartier, notamment en ce qui concerne les gangs, l’armement, la drogue et ses amis d’enfance qui ne suivent pas la même voie que lui.
En 1939, Robert Capa quitte en urgence la France pour les États-Unis, laissant dans son studio parisien, 37, rue Froidevaux, des boîtes contenant des négatifs …
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Cet ouvrage est le premier à se pencher de manière systématique sur les motivations et sources d’inspiration des photographes contemporains. Il révèle la façon dont travaillent quelques-uns des plus célèbres photographes d’aujourd’hui dans les domaines de l’art, du reportage, de la mode, de la publicité et du portrait, et analyse ce qui détermine les chefs de service photo, conservateurs, galeristes, directeurs d’agence et éditeurs dans leur choix de telle ou telle photographie.
Le film raconte l’histoire de la Cité de Dieu, un quartier violent de Rio de Janeiro, sur une période allant de la fin des années 1960 au milieu des années 1970. Le personnage principal (et narrateur) est issu de ce quartier et veut devenir photographe. À la fois acteur et spectateur des événements, il témoigne ainsi de l’évolution de ce quartier, notamment en ce qui concerne les gangs, l’armement, la drogue et ses amis d’enfance qui ne suivent pas la même voie que lui.
Le biopic sans fard d’une légende de la photographie. 1954. Robert Capa dresse le bilan d’une vie passée à couvrir les champs de bataille du …
Le Nikon F est un appareil totalement mécanique : il ne nécessite donc pas de batterie pour fonctionner. Il reprend les boutons de commande du …
Première femme lauréate de la médaille d’or Robert Capa en 1976, Catherine Leroy (1944-2006) était une photographe et une correspondante de guerre française qui a vécu aux Etats-Unis.
Originaire du Kosovo, territoire des Balkans à majorité albanaise placée sous l’autorité de l’ONU depuis 1999, Gani Jakupi a voulu témoigner d’un État meurtri, à …
On ne parlera pas du mathématicien et astrologue britannique né à Uttoxeter le 21 décembre 1542 car il est mort à Oxford le 30 septembre …